• Copier collé des mots triturés sur papier jaunis sur l'écran plasma .
    Comme dans le ventre de maman.
    Au chaud, en boule, nourris logé - option conscience.
    Le chocolat chaud qu'on buvait avec les petites bulles de beurres qui flottaient a la surface après qu'on y ait plongé sa tartine, l'école primaire, le collège.
    Le collège, ... La cour des grands ou personne n'entend plus rien .
     
    Les mots sortis du lit, les bras flasques dont je doute toujours, au réveil.
    "salut, comment tu t'sens ?"
    "Un peu comme un tas de graisse - option rêves chelous.
    Plus faculté débile a serrer les poings et les paupières en se répétant mentalement que non il ne fait pas encore jour et que je me lève que si je veux et uniquement quand je veux

    S'endormir en pleine lumière pour laisser un peu la réalité sans nous.
    Option glissement, d'une rive à l'autre.
    Option " la folie guette" en manuscrit sur les épaules.
    Option pas de message - option cloîtrée .

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  • J'ai presque pris ma propre vue de chambre, ce matin.
    Me suis rendue compte a quel point cette situation pourrait être castratrice.
    J'ai mal rêvé. De ces rêves beaucoup trop clair qui vous colle devant les yeux ce que quand vous etes eveillé vous vous permettez de ne pas voir.
    Un reve comme un couteau au niveau du plexus.
    Well.

    Je me suis beaucoup demandé a qui j'allais ( bien pouvoir) ecrire.
    A force d'ecrire a soi même, on se fait chier. Tout simplement.
    J'veux des réponses.
    Et puis quand on considere comment les réponses peuvent devenir plus que des réponses pour finir par faire un peu trop mal on se dit, pourquoi pas se baricader chez soi avec de l'alcool et attendre. Zut. J'ai encore oublié que je ne buvais pas d'alcool. Et que je ne fumais rien qui pourrait m'alterer la conscience.well well .
    J'me suis beaucoup demandé a qui j'allais ecrire.
    Peut etre des "lettre a quelqu'un."
    Ecrire de toute maniere.Sans choisir.
    Des fois l'ecriture semble choisir elle-même. I mean.
    Autant il est parfois laborieux de s'y mettre

    Autant si j'ecris pas je meurs.
    Je crois.
    Un peu.

    J'ai imaginé. Toujours.
    Je crois qu'il faut un peu cesser de trop imaginer pour pouvoir vivre.Un minimum.
    A force d'inventer des films avec bande annonce band originale ralentit action et cadrage, j'oublie de cadrer la réalité.
    Ce matin j'ai essayé de prendre une souris imaginaire pour recadrer ma vue de ma chambre.
    Mais y'avait pas d'ordi c'était juste dans ma tête.
    Ecrire.Ecrire. Tout n'importequoi n'importe comment. Je sais pas trop.
    Ecrire sans reflechir. Reflechir ecrire.
    L'ordre des choses.

    Soyons egoïstes .
    sois egoïste.

    egoïsons-nous ?

    Est ce que ces gens interessants existent ?


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  • me souvenais plus de ce qui ne tourne/ait pas rond ici
    C'est les heures passées à regarder les voitures grises dehors, juste apres le rideau blanc beige cassé, filtrer l'exterieur.
    C'est les après-midi ratées, exactement comme un train, en plus long, un long train qu'on manque, le temps qu'on gaspille  -  l'eau du robinet qui coule et qu'on regarde sans rien faire. Cette espece de vide ou on pense quand même a ce qu'on aurait pu faire si, les gens les visages les gestes les mains.
    Mais pas y penser trop, non plus, sinon on pourrait vite se " claquer la tête contre les murs ", c'est cette espece de vide tout pourri gâté qui fait que.
    Toutes ces secondes qu'on entend, qu'on croit entendre - devorer un livre pour se dire que.

    J'men fou - je serais .


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  • ()

    vous mettrez dans l'générique... sagt:

    ça sé passé commen aujourd'hui?pa tro dur?

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    KID A in limbo sagt:

    ca ma fait du mal et du bien en meme temp.

    le marbre etait gelé
    pour pouvoir etre un peu seule
    i'ai attendu qu'ils aillent voir une autre tombe
    j'ai detesté la mere pour etre bruyante
    on est allé au cimetiere
    me suis auto etonnée
    ca va .

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  • i.

    L'art des declics .

    Un mot, :" maman ".
    Les hasards dont on profite .
    Les rencontres, les chemins qu'on prend parceque c'est plus ou moins lumineux et puis les feuilles mortes qu'on ramasse pas.

    Pardon.
     "was Afraid of your alcohol breath".

    Boire et hurler.
    Les non separation qui poigardent les jolis petits enfants.

    Les mains pointues.Pardon .
    I CAN NOT .
    I didn't choose
    it .
    Le telephone qui degouline, comme des relents, des restes perimés ingurgités qu'on ravale, le téléphone du bout des doigts du bout du bras .

    J'ai juste entendu " maman " et ca a été comme des verres vides qu'on aurait jeté sur le sol de ma poitrine pour les briser .


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