• Necessite :
    Une banane,
    une gauffre pas cher(franc prix),
    et de la confiture ( la quatre fruits rouges de leader price c'est la plus bonne et la plus moins chere du monde).

    En deux temps:

    • Mettez la confiture sur la gauffre à l'aide d'un couteau afin de bien remplire chaque petit trou de la gauffre d'une bonne rasade de confiture.
    • Coupez des rondelles de banane et disposez-les(oui, c'est de l'imperatif, c'est un ordre) sur la gauffre, genereusement enduite de cette savoureuse confiture.
      ATTENTION! C'est ici que réside la subtilité de ce met si fin :
      Plus les rondelles de banane sont fines, plus votre gauffre sera harmonieuse et ronde en bouche.

    Conseil du chef : placez votre gauffre bien perpendiculaire a vous sur votre plan de travail et calculez bien combien vous  mettrez de rondelles par rapport aux petits carreaux de la gauffre ( comment ça la quadrature du cercle est impossible? Vous n'y connaissez rien en cuisine, enfin en tout cas pas en gouter super sucré).


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  • Georgia
    Georgia, the whole day through
    Just an old sweet song keeps georgia on my mind
    Georgia
    Georgia, a song of you
    Comes as sweet and clean as moonlight through the pines
    Other arms reach ot to me
    Other eyes smile tenderly
    Still in peaceful dreams I see the roads leads back to you
    Georgia
    Georgia, no peace I find
    Just an old sweet song keeps georgia on my mind ...

    (Georgia on my mind )


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  • Ici le telephone récupéré la-bas a gardé sa sonnerie, qui ne sonnait que dans l'appartement la-bas.
    La même sonnerie.La sonnerie qui en une seconde semble t'attraper la tête et la plonger dans un recipient rempli d'eau.
    Maintenue dans l'eau,on peut revoir l'appart. Le rouge et le noir,les coussins les meubles, le carrelage blanc cassé de la petite cuisine,...
    La moquette partout ailleurs qui absorbait les sons. Les rires.Le bruit de la télé qui debitait des emissions à la con. Encore pire qu'en France. Quoi que.
    Et puis le thé le soir.Les pieds nus sur le carrelage froid. Les tapis au sol. Qu'elle avait fait elle même. La sonnerie du telephone,...
    Les balcons de chaque coté, un sur la grande rue, le parking, la ville et ses ambulances qui passaient et repassaient toute la nuit.
    De l'autre une cour. Puis la pizzeria au fond a gauche, la rue des passages piétons.
    En refermant la porte toujours ce même silence des moquettes des tapis et des murs ou quelques tableaux sont echoués.
    On a recupéré le téléphone. Parait que sur le répondeur y'avait encore sa voix.Et la même sonnerie qui sonnait la bas sonne ici.
    Enfin la sonnerie ne retentit plus et on peut se degager, sortir la tête .

    On est en novembre.
    Je crois qu'elle aimait mettre ce manteau marron, a doublure grise.
    Peut-être qu'elle aimait les feuilles mortes qui jonchent le sol et novembre tiède.

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  • T.

    " arf. Toute cette distance que tu met entre nous ne m'évoque rien de plus qu'une tomate-mozzarella
    (parfois j'ai des pannes de métaphores)
    (là c'est est une) "

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