• Le non-théâtral

    Se casser les doigts sur le clavier
    se plier les ongles comme les dyslexies qui s'amorcent
    et se desamorcent
    Comme les ombres qui tournent sur elles mêmes
    glissent le long des paroies rugueuses
    et claquent dans l'air.
    Les métropoles glacées de l'interieur.
    J'ai envie de misterfreeze sur le bitume brûlant, j'ai oublié les noms.
    Retour a la case départ. Une case départ copiée collée mais travestie.
    Les noms mais pas les rires.
    Enfin si, peut-être, mais ca fait moins pathétique de dire que non.
    L'écriture semi-automatique, comme les appareils photos.
    T'imagines, si j'avais accepté ton boitier ? Non.Remarque.
    Moi non plus, j'imagine pas.
    Tout ca c'est qu'un histoire de mauvais endroit mauvis moment.
    On dira.
    maintenant les feuilles ont repoussé sur les arbres et je vois presque plus mon periph.
    Demain j'irais sourire
    en me demandant toujours

    si j'avais le choix, d'un aurevoir, est ce que je le ferais ou pas ?
    Avec un si en majuscule, castrateur.
    On s'en fou, je l'ai pas. Le choix.
    Y'a un disfonctionnement dans le secteur evaluation des distances et de l'importance des choses.
    "les choses".

    J'ai plus peur de mes bras.
    Je ne me souviens plus si il m'avait sérré ou pas.
    Je crois que oui-que c'était le seul.
    J'aurais été une fois au moins prise avec mes 12 ans.



     


  • Commentaires

    1
    t
    Samedi 13 Mai 2006 à 20:57
    we gave our best shot -- that's all we could do. right?
    arms are weapons and it's all the same way we get closer to it - avec prudence et doute - je lis ce que disent(martèlent) les doigts et je regrette ce que disaient les bras en silence. toujours. what about now ?
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